5heures du matin...

Nino était partie pour allée faire du sport comme son habitude, elle alla dehort et courra pendant au moins deux bonne heures. Mais au bout de ses heures, elle se rendie compte qu'elle avait la tête qui tournais.

Nan... j'aurais due... les prendres.

Voulant regagner le pensiona, elle y alla avec difficulter. Mais elle n'y arriva pas. Elle vit soudainement sa vie défilée devans elle. Elle tomba sur le sol. Evanouie...

Ayu ne parvenait décidement pas à s'endormir, si bien qu'il partit courir dehors, histoire de bien se fatiguer. Il ne tomberait pas malade puisque, à son avis, il aurait suffisament chaud en courant. Il partit donc en treillis et rangers pour courir dehors. Au bout d'une quinzaine de minutes, il trébucha et chuta lourdement sur le sol, sans douleur cependant. Jetant un regard par terre, derriere lui, il aperçu un visage pâle et tout un corps inanimé. C'était Nino! Regardant partout, il ne vit nulle aide. La prenant dans ses bras, Ayu ramena son amie dans le pensionnat au pas de course et la coucha sur son lit tandis qu'elle marmonnait des choses incompréhensibles, mêlant "pilules" "j'aurais dû" "prendre". Le jeune homme, sachant son amie ordonnée, courut donc à la salle de bain et trouva lesdites pilules, la seule boite présente dans l'armoire, et revint, ses chaussures militaires heurtant le sol avec des bruits sourds.

Il suivit la posologie indiquée et fit avaler les pilules à Nino et veilla jusqu'a ce que cette derniere se réveille, a 8 heures du matin. Le jeune homme semblait somnoler mais continuait à veiller sur son amie. Pas de chances pour le matin de noel

Nino se réveilla tout doucement. Les médicament faisaient effet. Ses yeux lourd souvraient peu à peu. Au début, elle vit une étrange hombre à côté d'elle. Puis cela prennait peu à peu forme. Et elle découvrit que c'était Ayu qui se tennait à ses côté.

A-ayu... c'est toi ?

Elle se redressa, se frotta les yeux et regarda l'horlogue d'en face. Nino, bizarrement fit un grand sourire.

Bonjour mon gardien préféré ^^
Que fait tu ici de si bon matin ?

Nino ne semblait se souvenir de rien, et Ayu crut bon de ne pas l'alarmer. Il s'arrangea donc pour trouver une excuse à sa présence, en esperant que son amie tant aimée (eh oui ) ne se rende pas compte qu'il était en "tenue de sport" et que ses rangers étaient pleines de terre...

Ohayou! J'ai l'air d'être le bouddha?

Ayu avait prononcé ces mots d'un ton qu'il voulait drôle, mais il ignorait si sa voix avait porté l'intonation qu'il fallait pour ça. Il regardait Nino d'un oeil critique, cherchant à déceler tout nouveau risque de défaillance de sa part, et s'enquit de lui annoncer une escuse quelconque concernant sa présence dans la chambre de la jeune femme.

Euh, il me semblait t'avoir entendue parler dans ton sommeil qui était très agité d'ailleurs. Je suis donc venu veiller sur ton sommeil pour être sûr que tu ne tombe pas de ton lit et que tu ne t'éveille sans trop t'être reposée. De plus, une chute aurait pu être douloureuse...

Il bailla en mettant sa main devant la bouche, bien élevé comme il est, et fit comme si de rien était. Lui? bailler? non...

Nino toujours un peu perdue écoutait tout de même Ayu. Il, qui s'inquiettait pour elle. Elle le trouvais drole. Amusant. Elle aurrait pue rire ou entamée une nouvelle discution. Mais non, elle ne fit rien de tout cela. Ce n'étais pas une abitude. Rien de tout cela. Rien ! Nino fit un geste, c'était son instinc qui l'avait guidée.

C'étais venue tout seul. A la fin de sa phrase:
"De plus, une chute aurait pu être douloureuse.."
Elle le prie par le col et elle l'attira à lui, se pencha vers lui à tout vitesse et l'embrassa.

De cet instant ses ennuit s'envolèrent. Cela dura 30secondes. Puis elle mit sa tête et le serra dans ses bras.

Elle sentie soudainement du regret. Et des larmes coulèrent de ses joues. Elle se sentait libérée. Mais sentait son coeur lourd.

Tout se passa tres vite, soudainement aggripé par la jeune femme, Ayu se laissa embrasser pendant ce qui lui parut durer une seconde, mais qui fut beaucoup plus long. Il rougit d'un coup et se mit à begayer, mais se rétablit vite. Le jeune homme fut serré dans les bras de Nino, et il fit de même pour elle, la serrant tendrement dans ses bras minces. Sentant des larmes couler sur la joue de Nino et mouiller la sienne par la meme occasion, Ayu se libéra doucement de l'étreinte de Nino pour sécher ses larmes du bout du pouce avec autant de douceur, puis lui caressa le visage en l'effleurant a peine du bout des doigts, regardant son aimée (je peux le dire???) ses yeux plongés dans les siens, n'exprimant son amour que par ce regard

Nino essuya ses larmes. Et elle regarda le visage de Nino. Etait t'il ? facher ? Non il avait un tout autre visage. Un visage qu'elle semblait voire de temps à autre quand elle tournait la tête. Triste ? Heureux, Maleureux ?
Elle ne sue. Mais se rendit compte que ce regard était doux, bienveillant. Ce regard. Elle s'y fondit. Ses sentiments devenait peus à peus claire. Son coeur battait mais il était léger.
Et encore par son instinc, elle raprocha ses lèvres des siennes. Comme si elle était guidée. Par quelque chose. Elle l'embrassa à nouveau doucement. Ses lèvres embrassaient celles de Ayu avec une tel chaleur qu'elle ne se rendit compte de ses gestes. Soudains des larmes revenir. Elle avait chaud. Elle se dégagea de lui un instant, cachant son visage avec ses mains.

_Es que... tu m'en veux ? Tu me déteste ?

Nino semblait s'être calmée, mais ne l'était pas totalement, malgré le deuxieme baiser qu'elle partagea avec le jeune homme qui se montra très tendre en cet instant comme il le serait dans d'autres. La jeune femme se dégagea et enfouit son visage dans ses mains, les larmes coulant à nouveau sur ses joues en les dévalant. Ayu ressentait de la peine, mais était aussi heureux de savoir que Nino ressentait les memes sentiment pour lui que lui pour elle.

Comment pourrais-je te détester pour cela? Au contraire, et cela fait depuis un moment déja que je ressens un amour infini pour toi, mais je ne savais comment te l'exprimer...

Nino le regardait ses larmes ne sésère de coulées. Pas un bruits, selemnt des larmes. De tristesse ? de joie ? Elle se sentait légère et n'en crue pas des paroles de Ayu.

pardonne moi... pardonne moi d'être restrée muette à ton amour... je t'en suplie...

Ses yeux étaient humides, ses joues rose, sa voie vibraient, ses mains tremblait. Elle était amoureuse de lui depuis un bon moment mais ne croyait pas, n'imaginait pas ses sentiments qu'elle éprouvait pour lui. Elle voulait l'embrassée. C'était plus fort qu'elle. Mais par rapport au deux autres fois, elle dit:

Embrasse moi... dit moi... se que tu resent pour moi... ne te contrôle pas. Je t'ai assée fait soufrire... pardonne moi...

Elle essuilla ses larmes. Attendant sa raiponce.

Tu es déja pardonnée, je ne pourrais jamais t'en vouloir pour quoi que ce soit, sauf si tu tombe malade et que de ce fait tu te refuse à mes soins, mais sinon... tu n'auras à craindre aucune rancune de ma part.

Ayu obéit alors au voeu de Nino et l'embrassa avec une douceur mêlée de tendresse, lui déclarant son amour du bout des lèvres, mais aussi de ses mots:

c'est avec toi que je veux vivre
et un tel sentiment me rend ivre
ivre de l'amour que tu éprouve pour moi
ivre de passer mes jours avec toi

c'est pour moi un grand plaisir
qu'etre avec toi et rire
je suis ivre de ta passion
ivre d'etre avec toi en toute saison

c'est toi que mon coeur a choisi,
entre tes mains, tu détiens ma vie

Nino embrassait Ayu. Elle goutait à ses baiser et ses mots. Elle écoutait. Et carressait son vigage. Prennait sa main. Ils étaient tous les deux allonger au sol.

Elle s'arrêta quelque temps et recommençais à l'embrasser. Ses baiser devenaient petit à petit emplit d'affection et de passion. Elle était hors d'elle même.

Puis ils s'arrêtèrent et Nino, sur le sol se cola à lui en boule. (il étaient toujours habillé pour ne pas précipiter les choses.) Puis lui dit d'une petite voie...

"Quand ta bouche
A la mienne vient se nourrir
Et que t'es yeux
Ne sont que mien

Quand tes mots
Ou tu me dédis ton amour
Et que mon coeur à froid
Quand je suis seul

Quand tu couvre mes épaules
Du manteau de tes bras
Et qui efface les goufres
Ou j'ai cachée mes peines

Que puis-je dire ?
Est-ce de la magie ?

Elle soufla un peu et le regarda tendrement. Ses yeux étaient légèremnet rouge.

Un sourire peut réconforter, les paroles peuvent faire plaisir ou encore séduire.

Elle l'embrassa tendrement à nouveaux alors qu'il ne pus faire quoi que se soit. Et ajouta...

Mais les mots que tu me dit... lorceque tavie deviens ma vie.
Si tu savais combiens je t'aime.

[je me doute bien qu'ils ne seraient pas directement nus, c'est pas du porno ici! ^^ ]

Etant tous deux couchés sur le sol, cela devenait inconfortable. Non parce qu'ils étaient tous deux allongés, mais parce que c'était a meme le sol. C'est dur le sol, enfin à l'interieur quand il n'y a pas de tatamis. Il se leva, et porta doucement Nino sur son lit, puis s'y allongea avec elle, laissant cette derniere se blottir contre lui. Ayu caressait les cheveux de Nino avec douceur tandis qu'elle lui narrait un poeme qui le fit fondre du début à sa toute fin. Lorsqu'elle eut finit de parler, le jeune homme répondit à sa déclaration d'amour avec un baiser amoureux mais tendre. Il n'y avait aucun empressement, tout se déroulait en douceur, laissant à chacun le temps d'apprécier, de savourer les nouvelles sensations qu'ils découvraient tous deux, ensemble. Il finit par étendre ses baisers sur le cou et les épaules de son aimée, se délectant du bout de ses lèvres de la douceur et de la chaleur de la peau de Nino, s'ennivrant de son odeur si agréable qu'il en était transporté de maniere agréable. En cet instant, il vivait le paradis, mais sur Terre, dans les bras de la personne qu'il aimait le plus au monde.

Nino se laissait embrassée mais quand il arriva au coup... aux épaules...
Elle rougissa. C'était si embarassant, si tendre...
Mais elle se laissa faire.
Et après leurs longue étreinte d'amour, elle s'était blotie entre les bras de Ayu. Elle ne savais quoi dire. Elle se sentait légère.

Ayu... non rien...

Soudain il y eu un bruit strident dans sa tête. Nino se releva brusquement et tenna sa tête entre ses bras. Elle avait mal.

Aaaah ! Se bruit... sa recomence...

Nino se mordie les lèvres et ferma les yeux et fonça les sourcils.

Ayu était trop occupé à sa tâche, si bien qu'il ne s'aperçut pas que Nino aviat rougi sous ses baisers de plus en plus étendus sur sa peau, sans dépasser une certaine limite (bah ouais quand meme xD) Apres cette longue étreinte amoureuse et tendre, Nino se blottit dans les bras du jeune homme qui posa sa tête sur son épaule. Soudainement, la jeune femme se leva, tenant sa tête dans ses bras ce qui eut pour effet d'effrayer l'amoureux dans un premier temps, puis, ce ressaisissant, il coucha Nino sur le lit, alors que cette derniere tombait à genoux sous l'effet de la douleur. Il ne savait pas ce qu'il fallait faire, il tentait d'interroger Nino afin de savoir ce qu'il lui fallait.

Nino recrocevillée sur elle même se tenait la tête comme un casque. Ses souvenir revenait...
Cela lui faisait moins mal. Voyant que Ayu attendait des explications, elle soufla un bon coup et explica...

Ce n'est pas de ta faute. C'est... une blésurre qui remonte souvent...
Pour tout te dire cela c'est passée quand j'avais 7ans....

-Nino ? Tu es réveillée ?
-Oui vous faisiez du bruit... on est bientôt arrivé ?
-On parlait papa et moi. Ne t'en fait pas ma puce.

A côté de moi il y avait mon frère.

-Qu'esque vous faite ? Pourquoi autant de bruit... je dormais moi. (il vennait de se réveiller)
-Et voilà ! Maintenant tous le monde est réveiller.
-Chérie ! Tu vas bien Pelleas ?
-A moitier. On est bientôt arriver ?
-Dus calme les enfants. Dans quelque minute on pourras... quesque ? mais IL est cinglé !!!

Nous avons percuter la voiture. J'ai aprit que plus tard, c'étais la voiture d'un ivrogne qui nous avait percuter. Mon frère m'a pris par la main et m'avait fait sortir de la voiture. A peine nous étions sortit que celle ci à explosée. Sous le choc je me suis évanouie. Et mon frère à été blésé. C'est une chance que nous nous en somme tirer se jour là. J'ai étée ensuite allée à l'hopitale, puis à la pension.

Elle le regarda d'un air serieux.

C'est pour cela que je m'évanouie de temps à autre. Alors ne t'en veux pas.

Ayu écouta les explications de Nino et lorsqu'elle eut finit de narrer ce qui lui était arrivé, le jeune homme en fut navré pour elle. Lui n'avait perdu que sa mère, son père lui, était mort d'une certaine maniere, mais il existait toujours, ce n'était plus vraiment son père, mais il restait vivant, alors que Nino...

Je... je suis désolé Nino...

Ayu ne savait trop que dire après ça, mais sa réaction fut plus claire que des mots. Il serra doucement le corps de son aimée contre lui, caressant son dos avec lenteur et posant prenant sa tête sur son épaule. Il restèrent ainsi pendant quelques minutes qui parurent durer une éternité, puis Ayu dessera son étreinte et déposa un baiser sur le front de Nino.

Nino, toujours avec son regard sombre lui répondit.

Tu n'as pas à t'escuser ! C'est de ma faute, je n'aurrais pas due te raconter sa. C'est un passer. Enfin... presque...
Aujourd'hui, je cherche mon frère...

Elle se laissa petit à petit dans les bras de Ayu. Son soutiens la faisait vivre. Puis le baiser sur le front. Elle se calma et l'embrassa sur les lèvres et se retirra.

Aller, tu viens ? J'ai une faim de loup ^^

11heures du matin. Ayu et Nino quittèrent le salon. Cela devint une belle journée. Leurs amour étaient réciproques et tout allait pour le mieux. Il reprendraient les cours dans une semaine. Pendant quelques jours il avait neigé. Nino et Ayu avait fait une bataille de boules de neige. Bref, tous se déroulaient pour le mieux.