sources chaudes de la piscine, tête à tête avec Nino!

Les deux jeunes gens, après avoir couru dans leur tenue si peu confortable pour entretenir une marche à rythme soutenu, arrivèrent à la piscine, dans l'enceinte du pensionnat. Dans le bâtiment de la piscine se trouvaient les sources chaudes, ces bains d'eau chaudes dans lesquels Ayu pouvait passer plusieurs heures sans rien faire sinon se détendre. Ce dernier, accompagné par Nino, se rendit dans les vestiaires où il se changea pour enfiler son boxer de bain noir, laissant son amour se changer dans le vestiaire juste à côté. Lorsque Ayu eut finit de se changer, bien après Nino, il enferma leurs affaires dans un casier, en prit la clef et, main dans la main avec la jeune femme, il se rendit à la salle où se trouvaient les bassins, au nombre de cinq. Ceux ci étaient assez grand puisqu'ils étaient conçu pour accueillir les élèves du pensionnat. Les deux jeunes amoureux pénétrèrent donc dans l'eau et s'assirent contre le bord du bassin, dans une eau agréablement chaude au dessus de laquelle de la vapeur flottait.

alors? qu'en pense tu?

Nino avait oubliée son maillo de bain. Alors comme elle n'avait rien d'autre, elle enleva sa robe et se mie un tee-shirt très large. Mais comme il était blanc, alors on pouvait voire les sous vêtements que Ayu avait offert pour Nino. Elle ne s'en préocupait pas. Elle patogeais ses pied dans l'eau et était assise à côtée de Ayu. Elle regarda droit devans elle au début.

Génial, sa fait un bon bout de temps que je n'y étais pas allée.

Elle lui souria. Et le regarda... son torce nud, elle avait envie de s'y allonger.

*De plus en plus mature... et bien batit. Jamais je n'aurrais crue qu'il s'interreserait à moi. Ou dus moins un peu... Depuis le début, il a toujours été gentil et serviable avec moi. Il est si gentil... et si sombre parfois... que lui est t'il arriver... dans le passer.*

La chaleur montait dans la salle des source d'eau chaude. Et Nino se sentait à la fois très gaie et comme flottant sans trop savoir ou elle était. Dans une sorte de dédoublement. L'air lui parut lourd. Pourtant, elle avait une mine superbe. Ses yeux était vifs. Et généralement elle se sentait en forme quand elle se trouvait dans les sources. Mais... il y avait Ayu. Tout était si différent...

A-a...

Elle ne pue finir sa phrase.

Nino portait les souvetements que lui avait offert le jeune homme, mais portait également un t-shirt blanc. Un oubli peut toujours arriver, mais un oubli dans ce genre ne laissait guere Ayu indifférend. Ce dernier l'accueillit dans ses bras tandis que son aimée s'installait contre son torse, allongée. Son t-shirt collait à la peau du jeune homme qui posa simplement ses mains sur le ventre de Nino.

Il lui arrivait de temps à autre d'être d'humeur sombre, dû à quelque manifestation de présence de son père, qui lui envoyait encore et encore son courrier bourré de fric mais sans aucun mot indiquant qu'il pensait de quelque maniere a lui. Ayu se demandait encore pourquoi il ne faisait pas brûler ces enveloppes qui le rendaient si maussade. Son père, d'après l'étudiant, cherchait encore à acheter son pardon, comme il le faisait depuis si longtemps. Mais la journée suivant la réception de ce maudit courrier, il devenait à nouveau souriant, car Nino était là, avec lui, partageant cet amour réciproque qui était le leur.

Ayu glissa ses mains sous le t-shirt trempé de Nino pour les poser à même le ventre de la jeune femme et se mit à le caresser lentement et doucement, ne faisant qu'effleurer sa peau douce et déposant de d'infimes baisers dans son cou à l'odeur ennivrante.

Nino malgré que cela faisait la deusième foie, rougissait pour les baisers que lui donnait Ayu. Mais tout de même, elle commençais à y prendre goût. Elle n'a jamais étée amoureuse. Due moins pas comme cela. Elle aimait ses parents adoptifs même si parfois ils ne se montraient pas très juste et même si ce n'étais pas ses parent. Généralement, elle n'a jamais étée amoureuse vraiment. Les garçons étaient très attirer à cause de son jolie corp mais,comme elle ne voyait jamais rien de tout cela, ils abandonnaient. Enfin, bref... ce n'étais pas du serieux pour Nino. Et puis au départ, elle ne cherchait pas l'amour. Voilà d'ou vient un peu le mot bizarre qui lui est dédier. Due moins une partie.

Elle caressa doucement du doigt la courbe des lèvres de Ayu. Elle mit comme Ayu sa main sur son ventre. Elle esitta un instant, mais fit de même. Elle se pencha sur son coup et l'embrassa délicatement. Puis un peus sur son torce. Puis remonta jusqu'aux lèvres. D'ou elle déposa sur la bouche tendrement. Mais, à chaque pas, elle ésitait. C'était nouveaux pour elle et la dernière foie, elle en était toujours un peu retournée.

Nino se joint à lui pour partager un doux calin d'amoureux en cette fin d'année. Il ignorait quelle heure il était mais la nouvelle année se ferait entendre par les cloches des églises situées de part et d'autres de la ville. Les douzes coups de la minuit résonneraient en même temps dans toute la ville et emplirait l'air des sons de la nouvelle année pendant que les deux jeunes amoureux se calinent avec une infinie tendresse.

Le corps d'Ayu était encore celui d'un adolescent, mais de la taille d'un adulte. Il ne changerait plus beaucoup par la suite. Le jeune homme frissonnait sous les baisers de Nino. Non pas qu'il eut froid, mais ces baisers lui procuraient une sensation presque indéfinissable. Il s'agissait de plaisir, mais aussi de bien plus. Lui même ne put poursuivre ses baisers pendant que Nino partageait avec lui un baiser langoureux auquel il participa avec douceur tandis que ses mains caressaient le ventre, le dos, les épaules, le visage et les cuisses de la jeune femme sans jamais s'approcher de sa poitrine ou de son intimité. Couvrir et découvrir le corps de Nino par ces caresses légères et douces faisait découvrir à Ayu ce plaisir qu'est celui de partager son amour sans un mot avec celle que l'on aime.

Alors qu'il caressait son aimée, le jeune homme était également entièrement soumis à la volonté de cette derniere.

Cette tendresse... Nino y pensait. Et comme elle sentait la douceur et l'amour que Ayu lui faisait part avec des geste déclicat. Elle repenssa à la dernière foie.

Depuis... combien de temps Ayu... depuis combien de temps... combien de temps que tu éprouve pour moi de tel sentiment en mon égard ?

Par la suite, elle n'embrassa plus le torce de Ayu. Ils étaient au sol, la chaleur des sources avait comme augmenter. Nino se laissait embrasser ou Ayu le désirait. Tandit que elle caressait ses cheveux.

Eh bien... Je ne sais pas vraiment quand j'ai commencé à t'aimer, sans doute quand nous nous sommes mieux connu, mais je n'ai compris cet amour qu'au milieu de l'année. Depuis longtemps mes sentiments et mes pensées ne sont tournés que vers toi, mais cet amour, je ne l'ai compris encore qu'il y a peu de temps. Et... et toi?

Tous deux étaient sortis de l'eau du bassin et étaient allongés sur le sol rendu chaud par la vapeur d'eau qui emplissait la pièce et rendait tout flou, sauf le corps Nino aux yeux d'Ayu. Leurs corps étaient si près qu'ils en étaient presque collés. Poursuivant ses doux baisers sur le corps chaud et doux de son aimée, Ayu, les yeux fermés, séparait ses baiser d'une caresse de ses lèvres sur le peau de Nino. Il ne s'approchait ni de la poitrine, ni des fesses ni de l'intimité de la jeune femme, car une telle tentation lui était encore inconnue. Ses caresses et baisers ne concernaient que les endroits chastes du corps de son aimée qui chérissait tant. Etant d'abord au dessus d'elle, il roula sur le dos pour placer la jeune femme au dessus de lui. Ayu ôta le t-shirt trempé que Nino portait et le posa sur le sol, ne perdant pas son ange des yeux.

Elle regardait Ayu. Plus son amour s'exprimait plus, elle regétais.

Tu as toujours été gentil avec moi. Tes manières... au début, je n'avait rien remarquée. Mais, par la suite... j'ai commencée à comprendre. Puis comme je n'avait pas l'habitude avec de tel sentiments... soudaiment mon corp à réagit tout seul.... et voilà...

Mes manières ne font qu'une avec ma personnalité. Mais je dois t'avouer qu'avant, je ne restais que caché dans l'obscurité, je n'avais pas ou peu d'amie. Il me semble n'en avoir eu qu'une, et elle est partie. Je n'ai pas d'amis garçon, car je fuis leur présence. Depuis que mon père est ce qu'il est à mes yeux, je fuis la présence des autres individus du même sexe que moi et ne fréquente que des filles, et encore... Je n'en fréquente que peu, je suis timide de nature, j'hérite ça de ma mère enfin... C'est tout ce qu'elle m'a laissé, avec mon nez et mes lèvres minces. J'ai par contre hérité du genre de cheveux de mon "père". Si je t'apparais maussade, je te prie de bien vouloir me le pardonner, c'est que mon père se sera manifesté à sa manière habituelle...

Ayu cessa peu à peu ses caresses et serra les mains de Nino dans les siennes, doucement, entremêlant ses doigts avec les siens, regardant la jeune femme qui le dominait droit dans les yeux.

Je t'aime Nino... Je t'aime de tout mon être et de toute mon âme...

Nino écoutait les paroles de Ayu. Ses mots vennait de sa vie. Il racontait ceci... Elle ne pus exprimer. Son désolement... le père de Ayu. Qui était t'il donc ?

Je ne sais que dire... si ce n'est, ton père... tu ne l'appréciais pas beaucoup je me trompe ?

Timide ? Nino ne le croyait pas. Ou dus moins elle ne le pensait pas. Même si il est de nature très sombre. Elle pensait qu'il serait comme même asser disposer aux autres sans en être ouvert.

Mais... les filles ? Avec moi, même au début tu m'avait dit:
"Apres tout on n'est que tous les deux. Si on reste distant ça risque d'etre insupportable, enfin il ne me semble pas impossible d'etre proche de quelqu'un tout en vouvoyant ce quelqu'un."
Mais si tu étais aussi distant que cela, pourquoi viendrais tu vers moi ?

Mais par la suite que Ayu lui dit d'une voie profonde son amour pour elle, elle ne posa plus de questions. Ses mots vennait de son coeur et depuis longtemps peut être, il voulait les dires. Ou alors sur le moments...
Les mains de Ayu, croisées serrait les siennes. Le coeur de Nino battais, battais, battais, battais, battais, battais, battais, battais, battais, battais, Battais....
Et les lèvres de Ayu et de Nino se rapprochaient, rapprochaient, rapprochaient, rapprochaient....
Nino mit ses mains sur le visage de Ayu.

Je... t'aime, Monsieur Ayu Dabatto.

Et elle l'embrassa avec passion. A ce moment là, Nino ne penssait qu'à eux deux. Et eux deux seul.

Dans l'instant qui suivit le baiser plein de passion qui avait lié leurs levres et la langue de chacun, langues qui dansaient dans la bouche tantot de l'un, tantot de l'autre, Ayu expliqua pourquoi il était venu vers elle

Eh bien, quand je t'ai rencontrée, il m'a semblé voir un Ange au fond de tes yeux, sous les traits de ton visage, mais aussi une espèce d'aura angélique. Quand je me trouve avec toi, je me sens apaisé, je me sens mieux que je ne l'ai jamais été dans toute ma vie.

Il ponctua ces mots d'un nouveau baiser passionné, comme celui qu'il venait de partager avec Nino. Les baisers comme ceux là l'électrisaient de sensations qui se faisaient toujours plus riches, toujours plus nombreuses. Ses mains avaient lâché celles de Nino qui, le dominant toujours agenouillée au dessus de lui, lui caressait le visage. Le jeune homme en fit autant tandis que se poursuivait ce baiser plein de passion. Pendant ce baiser, les cloches sonnèrent les douzes coups de minuit, et annonçaient la nouvelle année tandis que les deux jeunes amoureux s'embrassaient. Lorsque le glas des douzes coup s'éteignit, les lèvres des jeunes gens se séparèrent et Ayu dit d'une voix douce, à peine plus forte qu'un chuchot:

Bonne année mon Ange...

A nouveau ses baisers, Nino ne pus rien faire. Elle était à nouveaux dans sa phase d'affection. Avec, la langue, comme Ayu, lui fit découvrire cette nouvelle sensation. Même si elle était en sous vêtements. Très sexie d'ailleurs. Ses mains qui se trouvaient sur le visage de celui ci, désendirent jusqu'au dos de Ayu.

Je veux que tu vives heureux Ayu. Pour toi, demande moi ce que tu veux.

Soudain les douzes coups retentirent. Il était minuit.

Bonnée année Ayu... à nous.

Elle lui souria, même si malgré tout sa et la chaleur, elle était rouge.

ce que je veux???[attention, contenu pouvant choquer!] Je veux que tu... sois heureuse Nino...

Le jeune homme avait remarqué que Nino portait les sous vetements qu'il lui avait offert pour Noel, ceux ci lui allaient bien d'ailleurs, apparament il ne s'était pas trompé sur la taille à prendre. Lorsqu'il se rendit compte qu'il comptemplait le corps de son aimée en sous vêtement, Ayu rougit et se répandit en excuse. Il ne voulait pas qu'elle le prenne pour un pervers ou quelque chose dans le genre. Ses mains se posèrent dans le dos de Nino, pour le caresser, de haut en bas et inversement, parcourant les épaules et le dos sur toute sa surface. Le dos était chaud et trempé par la vapeur, tout comme le reste de son corps et comme le corps de l'amoureux qui se remit à embrasser le cou de son aimée, le léchant sensuellement également, partant de la carotide jusqu'au lobe de son oreille qu'il mordilla légèrement.

Comme Nino avait très chaud, elle l'embrassa qu'un peus sur son cou. Elle se laissait à porter de Ayu. La chaleur montais, plus de la chaleur donnée par Ayu. Elle aimait les geste d'affection donnée par Ayu et d'un autre côté, elle sentait qu'elle n'allait plus tenir. Et comme elle n'arrivait plus à prononcer un mots que celui de son amour, elle ne dit plus rien. Mais quand elle sentie que elle allait lachée, elle mit sa main tremblante sur la bouche de Ayu.

Je... ne me sens pas très bien. Allons... ensemble dans le salon. Ayu...

Ayu ne mit pas cent sept ans à réagir. Il se leva, prenant Nino dans ses bras, puis se rendit dans les cabines, là, il secha la jeune femme avec sa serviette, enveloppa Nino dans sa veste, faute d'autres vêtements secs, s'habilla et se rendit au pas de course au salon en portant Nino dans ses bras, priant pour qu'elle n'attrappe pas froid. Arrivé au salon, il posa son aimée sur son lit et lui dit de se changer au plus vite tandis qu'il partit en cuisine afin de préparer du thé pour eux deux. Il revint avec sa théiere et deux tasses et vit Nino en pyjama, l'attendant sur le convertible.

» a la piscine (suite du salon)
» Nino Fujitaka