Ayu et Nino... une dernière foie

Nino et Ayu était revenue de la foret. Nino avait dans ses mains le cadeaux de Ayu de la par du professeur et une lettre de lui même. Ayu était partit chercher la nouvelle mais elle avait quittée les lieu comme le professeur en laissant derière elle aussi les raison de son départ. Nino régardait le ciel oranger. Le soleil allait se coucher. Et il se coucha Ayu revint vers Nino avec la nouvel que il n'y avait plus que eux deux dans le pensionna. Nino, regarda droit devans elle ailleur. Le vent de l'hivert souflait. Mais elle n'avait pas froid. Elle s'était bien couverte par rapport à tout t'alleur. Et puis elle était avec Ayu. Elle lui donna son cadeau c'était un couteau japonais qui permétait de coupée les poissons avec facilitée. Elle lit ensuite la lettre...

"Monsieur Dabatto, Nino. Je suis partis. Il y a longtemps que j'aurrais dus le faire d'ailleur. Navré ma soeur. Mais nos vie son différente à présent. Je te laisse donc Dabatto ma soeur. Prend soins d'elle. Si il lui arrivait maleur je ne te le pardonnerais jamais. (danger de mort)
Enfin, je quitte le pensiona. Pas d'élève ni de patron. Pas de boulot et donc pas d'augmentation de salaire. Ayu, Nino... bon vent. Akira"

Nino lacha la lettre et elle s'envola loing du pensionna. Nino ne savait quoi dire. Il y eu un long silence.

Nous voilà seul Ayu. Mais qu'allons nous devenir ?

Ayu prit le cadeau offert par le professeur en silence. Ce dernier devait avoir pris le sien sous le sapin qui était resté dans la salle des fêtes, Ayu ne l'avait pas défait mais ne voyait plus le petit paquet. c'était la seul hypothèse possible. Lorsqu'il découvrit un couteau de cuisine Japonais traditionnel, Ayu ne sut que dire sauf un merci de tout son coeur. Nino lui lut la lettre laissée par le professeur qui était parti depuis une durée indéfinie. Comme s'il n'allait pas prendre soin de Nino... c'était l'évidence même aux yeux d'Ayu, prendre soin cde celle que l'on aime. Lorsqu'elle lui demanda ce qu'ils allaient devenirs, Ayu lui répondit:

Eh bien... nous allons vivre Nino, vivre comme nous avons vécu avant son arrivée, vivre ensemble dans l'amour et la simplicité.

Nino régardait toujours le ciel étoilé à présent.

oui... mais si nous restons ici sans travail. Cela vas être difficile.

Elle se raprocha de Ayu et mie sa tête sur ses jambes et le regarda. Pensant à cette question. "Commens faire si nous restons ici sans job, sans treavail si ce n'es nos livre à la bibliothèque."

Ayu sourit intérieurement bien malgré lui. Finalement les "courriers" de son père lui seront utile, une véritable fortune s'est accumulée dans un sac de sport du jeune homme, grâce a son père qui "pensait à lui"...

De ce coté là pas de soucis. Si je t'apparais si maussade un jour par mois, c'est parce que je reçois une enveloppe de mon père, et cette enveloppe contient toujours de l'argent. Comme je les accumule en dépensant peu par rapport à ce que je reçoit, on a suffisament d'argent pour vivre sans travailler. Ce n'est pas bien en soit, mais bon. Pour une fois que cet argent qui ne sert pas en temps normal sera utile...

Nino souria. C'était vrai. Ils étaient tous les deux couvert par les parents qui leurs donnait de l'argent. Pas de soucie. Rien de désavantageux. Ils pouvaient tous les deux menez leur petite vie à deux. La seule chose que craignait Nino se serait que Ayu ne face pas d'aproches vers les autres. Mais à quoi bon. Elle semblait de moins en moins se préocuper. Elle était avec Ayu et sa c'était important. Et même si ses parents adoptif devait surment l'aimer alors que cela ne se voyait que parfois. C'est à ce moment là que Nino, par Ayu fut vraiment aimée. Son frère l'avait abandoner pour le travail. Ce n'était plus le même. C'était comme si ce n'était plus son frère. Evaporer... disparue...
La seul personne qui l'aimait encore était Ayu. Après un long moment de silence et de tranquilitée. Nino de ses mains carressa le visage de Ayu. "...nous allons vivre Nino, vivre comme nous avons vécu avant son arrivée, vivre ensemble dans l'amour et la simplicité."
Cette phrase lui revenait à nouveaux. Elle fit un auchement de tête. Une nouvelle vie. C'était leurs rèves.

Le pensiona était mort et enterrer. Plus personne ne viendrait, à part les personne ne sachant pas la nouvelle. C'était ceci à quoi s'attendait Nino et Ayu. C'était peut être mieux. Soudain elle eux une idée. Mais elle pensa soudainement aussi, que cela ne soit pas faisable.

Ayu... tu pences à ce que je pence ?

Nino semblait pensive pendant qu'Ayu parlait. Lorsqu'il sentit ses mains sur son visage en une délicate caresse, Ayu eut pour réaction de poser sa main droite sur l'une des mains de son aimée, fermant les yeux. Lorsque les mains quittèrent son visage, il regarda la jeune femme. Ah ce qu'elle était belle dans la lumière du soleil couchant! Une véritable ange pensait-il.

Je ne sais pas à quoi tu pense, mais j'aimerais bien connaitre le fond de ta pensée. Tout ce que je veux, c'est vivre avec toi, cela implique que je ferais n'importe quoi pour passer ne serait-ce que la moindre seconde avec toi. Bon bien sûr je te laisserais des instants d'intimité!

Nino avait la tête posée sur les jambes du jeune amoureux qui contemplait cette dernière tandis que de sa main droite il lui caressait le ventre avec lenteur, faisant bien attention a ne pas toucher une nouvelle fois à son sous vetement. Alors que le soleil se couchait, le compagnon de Nino voyait dans les yeux de cette dernière les dernières lueurs du jour et vit la naissance des étoiles pour cette nuit fraîche d'hiver. Il n'avait pas prévu qu'ils restent si longtemps à l'extérieur mais en fin de compte, ce n'était pas si mal pensait-il. Cela leur offrait un moment en tête à tête comme ils auraient de nombreuses fois à l'avenir, dans une ambiance romantique et tendre. Cette fois ci, Nino ne portait pas un short mais un jean, ainsi qu'un t-shirt noir. Le jeune homme lui n'avait pas abandonné sa parka française, ni son jean noir, le t-shirt de la meme couleur et les chaussures de marche.

Ôtant sa parka pour en couvrir Nino, il regardait dans ses yeux brillants d'amour avec un sentiment de joie immense, ce sentiment était partagé avec la certitude d'avoir trouvé l'amour parfait, de le vivre avec une fille exceptionnelle en tout point, du moins en tout point qu'il lui connaisse. Il y avait encore quelques choses qu'il ne savait pas à propos d'elle. Mais ces choses là étaient trop génantes pour être évoquées. Du moins, c'est ce qu'il pensait. Certains parlent de ces choses sans gêne, le jeune homme lui ne le pouvait pas.

L'occasion d'en parler viendra peut être à l'avenir, mais chaque chose à sa place, chaque chose en son temps. L'instant ne se prétait pas à ce genre de question, ou plutôt à cette question là. Tout ce qui passait en priorité, c'était Nino. Cette derniere est prioritaire dans la vie d'Ayu qui ferait tout son possible pour qu'elle soit heureuse et en bonne santé. Sa propre santé venait ensuite.

Tant de pensées lui venaient tandis qu'il regardait Nino dans les yeux, se noyant dans son regard jusqu'a en oublier où ils étaient, la température qu'il faisait ect...

Elle était radieuse. Elle était avec surment le garçon le plus merveilleux de la planète. Une impression étrange mais, les phrases adressée par amour à Nino était à chaque foie une surprise nouvelle. Et Nino adorait les surprises. Oui ses mots la touchaient et pas qu’un peut. Dans ses moments comme ceux-ci, Nino n’avait qu’une envie c’est de redonnée de même.
Elle ferma les yeux et dit un morceau de ses poèmes qui venaient du cœur.

« Ne cherchons pas le bonheur dans nos souvenir
Ne cherchons pas non plus dans l’avenir
Cherchons le bonheur dans le présent
C’est la, et la seulement qu’il nous attend »

Nino rouvrit les yeux. Et lui dit :

Cela ce confirme… Ayu. Tu es mon bonheur. C’est cela ma pensée. Le plus grand obstacle au bonheur est peut être… de devenir trop grand. Alors… Ayu sachons cueillir le bonheur au compte-gouttes ; ce sont les petite goûtes qui font les océans.
Ce que je propose. C’est de redonner à ce pensionna sa grandeur datant.

Elle prie les mains de Ayu et termina…

Créons ensemble nos souvenir. Notre bonheur. To gaver.
« Aimer c’est aller au dela de soi
Marcher tout droit
Toucher le ciel du bout des doigts
Croire a l’éternité des lendemains.

Tu es l’hymne de l’amour
Tu es mon hymne a moi
Tu es mes nuits et mes jours
Tu es ma seule foi

Si tu savais à quel point je suis amoureuse
De toi. »

Nyu que c'est beau!

Ayu se pencha et embrassa le front de Nino puis se mit lui aussi à réciter un de ses poèmes. Moins dans le contexte, et il ne l'avait jamais vu porter de chemise noire entre ouverte.

Pendue sur son cintre, patiement elle attend
Elle attend quelqu'un, c'est toi qui la prends
Cette chemise noire, je l'ai rarement portée
Seulement pour ces moments où j'étais attristé

Aujourd'hui, c'est toi qui la porte
Nullement attristée, l'âme sereine
je te trouve belle, vêtue de la sorte
quand je te regarde, je te vois en reine

En sous-vêtements noir et rouge
La chemise noire est déboutonnée
Que ton corps est beau quand il bouge
Devant ton charme je reste bouche bée

Aujourd'hui, on reste dans notre foyer
Nous ne sortons pas, nous partageons
Des moments intimes, à nous caresser
Et ce toute la journée, puis nous nous couchons

Je te regarde, toute la nuit, vêtue de la chemise noire
tu es si belle, je ne veux perdre aucune occasion de te voir
Je pose ma main sur ton épaule, puis elle glisse
Elle glisse lentement sur ta cuisse, je la caresse

Tu es en sous-vêtements noir et rouge
La chemise noire est déboutonnée
Que ton corps est beau quand il bouge
Devant ton charme je reste bouche bée

Cette nuit, nous sommes tendrement enlacés
Nous nous aimons et nous partageons
Un moment intime, à nous caresser, nous embrasser
Et ce pendant quelques instants, puis nous nous endormons.

désolé, c'est moins dans le contexte, mais c'est ce qui me venait à l'esprit.

Nino régardait Ayu. Elle buvait chacunes de ses paroles. Elle rougissa un peut à quelques reprise. Puis elle baissa la tête et l'on ne pouvait voire que son sourire. Ses cheveux cachèrent ses yeux.

J'ai... encore perdue

Nino releva sa tête et de ses mains caressa les cheveux de Ayu puis son visage. Puis reprie la mains gauche de Ayu et l'embrassa (la main)

Merci Ayu.

Allons... Tu n'as rien perdu du tout, il n'y avait aucun défi là dedans. Je suis touché par ton poème Nino. J'espere que tu ne m'en veux pas de t'avoir pris en image en sous vetements pour le poème...

Ayu se souvenait encore du jour où il l'a vue ne portant que ces sous vetements rouge et noir aux sources chaudes de la ville. Il n'arrivait pas à effacer ce souvenir. Comment le pourrait-il? c'était une question sans réponse. En réponse au baiser sur sa main, Ayu prit la main gauche de Nino et la lui embrassa également, laissant ses levres courir sur la peau douce de cette main, puis lècha son index avec un sourire exprimant la gourmandise.

Nino souria, de son autre main, elle fit approchée la tête de Ayu puis elle leva la tête puis elle déposa un doux baiser sur ses lèves. Rien que pour le voire ensuite. Puis elle ria.

idio...

Puis de ses bras elle l'enlassa et l'embrassa... sur son visage... son cou... et revint à la bouche en lui mordant doucement ses lèvres puis l'embrassa à nouveaux. Elle fut au dessus de lui. Elle essaya et l'embrrasa avec sa langue. Chose qui ne la resemblait pas puis elle l'elassa encore. L'embrassa, carressa son visage. Massa délicatement son torce en passant sa main sous son haut. Puis elle souria. Soudain elle glissa du toit. Mais elle s'était accrocher à Ayu et elle remonta en riant.

Sa serait mieu à l'interieure tu ne croie pas ?

Puis elle regarda le ciel comme une enfant émerveillée.

Nous avons un ciel magnifique ce soir.

Ayu se laissait completement faire par la jeune femme qui semblait coquine en cet instant mais paniqua lorsque Nino glissa du toit et soupira lorsque celle ci parvint a remonter. Effectivement ils seraient mieux à l'interieur pour poursuivre. Il valait mieux tomber d'un lit que tomber d'un toit. Tomber de cette hauteur risquait de faire un tantinet plus mal.

Oui... La nuit est belle. Viens, Rentrons, nous allons poursuivre à l'intérieur.

Prenant sa Parka et Nino dans ses bras, Ayu descendit en direction de sa chambre en portant Nino dans ses bras.

» Nino Fujitaka