Le soir...[libre ^^]

Ryoko marchait tranquillement dans les couloirs, une lettre entre les mains… La jeune fille hésitait fortement à l’ouvrir, elle provenait de ses chers parents adoptifs…
En fait elle ne les a jamais considéré comme ses parents, c’était simplement des personnes capables de l’héberger, ils ne signifiaient rien de plus à ses yeux.
Quoi qu’il en soit Ryoko s’adossa au mur et décida d’ouvrir l’enveloppe de la vérité, elle savait déjà ce qu’allait dire la lettre qui se trouvait a l’intérieur, mais elle était curieuse de savoir si elle avait bien raison. Donc je disait que la jeune fille commença a déchiré l’extrémité de l’enveloppe et en sorti le bout de papier qu’elle contenait. Elle déplia la lettre et se mit à lire… Au fur et a mesure de sa lecture un sourire se dessine sur ses lèvres. La feuille tomba a terre, Ryoko ne parlait pas…

* Si c’était comme sa…pourquoi ils m’ont pris sous leurs aile ?
Pitoyable…oui, je suis pitoyable…
S’il ne voulait pas de moi…alors pourquoi ?*

La jeune fille se mit à rire. Un sentiment de colère naissait en elle, un sentiment de haine, quoi qu’elle fasse elle se fait constamment rejeter. Elle devenait de plus en plus renfermer, Ryoko se laissa glisser le long du mur et ramassa le papier afin de le relire.
« Ryoko,
Sait-tu pourquoi nous t’avons placé dans ce pensionnat ? J’imagine que tu t’en doute déjà. Le jours ou on t’as adopté, ma femme et moi-même avons eu pitié de toi, tu n’avais pas d’amis et tu te retrouvait toute seule, c’est pourquoi nous t’avons accueillit.
En vérité on ne t’a jamais vraiment aimé, ni même apprécier, donc je pense que dans ce pensionnat tu pourras passer le reste de ta vie. Du moins jusqu’as ta majorité, quoiqu’il en soit, tu n’as pas besoin de revenir.
M . Kawazaki »
Elle jeta rageusement la feuille un peu plus loin.

"Je n’ai pas besoin de votre pitié ! Bordel !"

Non! Ce n'est pas le moment de flancher, il fallait qu'elle se contôle et c'est pour cela qu'elle ne devait en aucun cas se montré faible. La jeune fille resta assise sur le sol, adossé au mur froid...Elle commenca a chanter sa dernière chansson d'une voix douce et envoutante.

"We are not meant for each other, and being friends is the best thing for us,
there isn’t a single thing we have in common,
so I claimed there’s no way we can be lovers,
but I don’t want to make excuses anymore..."

[comme on se retrouve ]

Ryumi s'etait posé sur le rebord d'une fenêtre, il avait remarqué que peu de surveillants passaient par la, entre chaques interclasses, ils s'installaient quelque part et y restait jusqu'a la prochaine sonnerie.
Il pouvait donc profiter pleinement de ses heures de permanences au calme et a la tranquilité.
Ryumi regarda aux alentours, il ne voyait personne.

*Je pense que je peux...*

Il alluma une cigarette, puis regarda au dehors, c'etait magnifique, un peu haut, et la chute se ferait sentir, mais voir le paysage de ce pensionnat donnait une sorte d'apaisement dans l'atmosphere, où Ryumi pouvait se refugier.
Mais il ne rêva pas bien longtemps, il entendit un léger bruit, ca venait de loin, mais il fallait rester prudent, il jeta sa cigarette, et s'approcha discretement de lendroit où venait le bruit.
Il arriva devant une jeune fille, elle avait l'air enervé, et venait de faire tomber quelque chose. Gentleman qu'il etait, il se courba et ramassa le bout de papier, qu'il tendit a la demoiselle.

Vous venez de faire tomber ceci.