La suite d'un calin...

Nino releva la tête et souria le plus possible pour ne pas faire éveiller des soupsons. Mais... elle ne pouvais mentire.

Rien je suis juste fatiguée.

Et de ce côté là elle ne mentie pas elle était fatiguer maintenant il y avait le pourquoi. Mais elle préféra passée.

Mais toi comment te sens tu ?

Elle s'asseilla à côté de Ayu et le regarda.

Comment je me sens? mais... relativement bien Nino! a t'entendre on me croirait mourrant (u_u"). Je t'assure je vais bien, c'est plutot toi qui m'inquiete, alors ce qu'on va faire, c'est inverser les rôles, tu te couches, et c'est moi qui te soigne et te veille.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ayu se leva, et poussa doucement Nino sur le lit pourqu'elle s'allonge, puis s'assit sur le lit à coté de son ventre, ne quittant pas des yeux le visage de la jeune femme.

Elle baissa la tête pensant à tout ce qu'elle avait dit avec ses parents. Ils viendraient peus être la cherchée et elle ne voulais pas que cela arrive. Elle voulait rester. Elle voulait rester ! Auprès de lui.

n-nON !

Elle avait dit cela ci soudainement, si spotanément que elle n'en crue pas sa bouche. Par la suite elle prie Ayu dans ses bras et se colla à lui. Elle fourra sa tête dans ses bras. Et dit d'une voie pleinne de tristesse, sans le regarder...

je... je taime depuis que je t'ai rencontré
je t'aime avec notre premier baiser
...je t'aime... Ayu car tu as su conquérir mon coeur
...Je T'aime car tu es la clef de mon bonheur...
Je t'aime car avec toi je suis heureuse
Je t'aime... pour cette douceur que tu m'apportes...
Je t'aime ... pour la tendresse que tu... excprimes chaque jours....

Elle toussa en mêteant sa mains devans sa bouche et sans que Ayu ne dit une seule phrase reprie...

Je...je t'aime pour tes douces paroles que tu me murmures..
Je t'aime... tous les jours
Je t'aime.... Pour toujours...

Elle releva sa tête, ses yeux étaient humide et cela les rendaient beaux avec la couleurs de ses yeux. Ses pomèttes étaient rose...
Elle essuilla ses larmes avec sa main et embrassa avec amour son aimer. Ayu.

Ayu fut ému par les paroles de sa compagne, mais il s'inquiétait aussi. Pourquoi lui disait elle tout ça, précédé d'un "non" que l'on ne rencontre que dans les cauchemards? craignait elle quelque chose qu'elle n'osait pas annoncer à Ayu? Celui ci fut embrassé amoureusement par la jeune femme qui se blottit ensuite dans ses bras. Le jeune homme posa ses mains sur le dos de Nino, puis le caressa avec douceur, de haut en bas, dans un geste de réconfort, sentant le souffle chaud de la jeune femme sur son corps. Il n'était que faiblement vêtu, un boxer noir et puis rien d'autre. Sa douleur au dos se fit a nouveau sentir, si bien qu'Ayu se coucha a nouveau, entrainant Nino avec lui en douceur, gardant sa tête contre son coeur, et ses mains posées sur le dos de son aimée. A cause de la situation dans laquelle il se trouvait, son coeur battait vite et fort. Sans doute était-ce parce que, pour la deuxieme fois, il se trouvait en sous vetement avec son amour contre lui.

Après cela Nino ne dit plus un mots elle se laissa bersée par Ayu. Ils s'allongèrent et elle resta juste à côté de lui allonger. De sa main elle prie celle de Ayu. Avec lui elle se sentait proteiger, avec lui elle se sentait bien, avec lui elle calma sa colère. Et sa fatigue...

Ayu resta couché paisiblement, servent en quelque sorte d'oreiller pour la jeune femme qui semblait avoir besoin de repos et de calme. Alors il ne dit mot, regardant son aimée s'endormir peu à peu. Son image de paix était réconfortante aux yeux de l'amoureux qui continuait de caresser le dos de Nino lentement. Que dire dans une telle situation? Que faire de plus? Ayu n'en savait rien, mais ses caresses sur le dos de sa compagne étaient sûrement plus claires qu'une longue phrase

Et finalement la fatigue de Nino l'emporta quand elle se réveilla il faisait tard vers 9 heure du soirs environs. Elle ouvrie lentement les yeux mai se redressa très rappidement. Dehort il faisait nuit. Elle se releva et regarda tous les côtés, il y avait de la lumière dans la cuisine. Avant d'y entrer elle se changea ne voulant pas rester avec ses vêtements tout dégoutants. Elle se mie une jupe rouge et un chemisier noir et avec des chaussure tout aussi noir.
Elle avait prévue d'enmenée Ayu au ciné à 9h30. Heuresement qu'elle s'était réveillée avant.
Soudain avan d'ouvrire la porte de la cuisine elle se souvint de ce qui s'était passer avant. Elle avait du paraitre ridicule. Mais elle entra dans la cuisine.

Une nouvelle fois, Ayu resta bouche bée devant Nino qui s'était faite vraiment belle ce soir là. Changement radical avec la Nino de l'apres midi même. Elle avait l'air d'une ange, ou plutot d'une démone, avec ses vêtements de couleur rouge et noire. Il ouvrit la bouche une premiere fois, mais ne put parler, il ouvrit a nouveau et parvint à dire les mots qui lui éclaireraient la situation:

Que me vaut l'intense plaisir de te voir ainsi joliement vêtue, ma puce?

Nino souria lorscequ'elle vit la tête de Ayu. Et fit un rire légée.

Ne reste pas comme cela idio

Elle alla vers lui et lui excplica que normalement elle avait prévue de l'enmener au cinéma pour changer les idées.

Alors tu viens ?

Lorsque Nino le convia a bouger, il le fit et s'approcha d'elle lentement, non par peur, mais parce qu'il voulait prendre son temps de la contempler en avançant. Lorsqu'il l'entendit dire qu'elle l'emmenait au cinéma le soit même, Ayu sut que ce soir ce serait une soirée exceptionnelle, mais la voyant mignonne comme ça, il craignait une éventuelle aggression. Les jeunes de nos jours vous aggresseraient juste parce que vous êtes mal coiffé.

Avec toi j'irais n'importe où, et n'importe quand.

Il effleura le cou de la jeune femme de ses lèvres, puis partit dans sa chambre pour s'habiller décemment. Déja, changer de sous vêtement, un boxer noir serait très bien. Ensuite, un t-shirt noir, un jean noir un peu plus long que ses jambes pour faire retomber le bas de son pantalon sur les talons des rangers qu'il allait porter, et enfin une chemisette noire qu'il ne fermait pas et portait à la maniere d'une veste au dessus de son t-shirt. Il s'enquit ensuite de trouver sa housse noire comme le reste, et y fourra son bokken en chêne blanc, sait-on jamais. prenant la housse avec lui, le jeune homme revint à la cuisine rejoindre son aimée, habillé de pied en cap avec sa housse à la main. Voyant le regard interrogateur de Nino, il posa la housse et prit cette dernière dans ses bras et lui chuchota:

Ne t'inquiete pas pour ça ma puce... c'est juste au cas où on se ferait tellement aggresser. Tu es tellement mignonne que... que je crains qu'un garçon ou qu'une bande de mecs s'en prennent à toi plus qu'a moi. Les aggressions se font de plus en plus pour des motifs presques banaux. Moi meme j'ai été victime d'une aggression au couteau dont je porte toujours la marque, mais je ne sais pas pourquoi j'ai été attaqué.

A ce souvenir, il sourit également. Cela pouvait être étrange pour la jeune femme. Son amoureux se fait attaquer dans sa jeunesse et sourit à ce souvenir. Ayu entreprit de s'expliquer.

En fait, ce bokken et la housse qui le contient; ils datent de cette époque où j'ai été aggressé, du temps où j'avais un ami dont le père tenait un dojo de Kendo/aikido. Nous nous entrainions souvent et un soir une bande de 15 garçons sont venus sans nous expliquer pourquoi et ont voulu nous raquetter... pour commencer. Tu me connais, je n'abandonne pas comme ça, surtout que nous étions deux, armés et entrainés. Alors on s'est battu, c'était notre passage de niveau débutants à confirmés si tu préfère. Je crois que ce fut le moment le plus heureux de ma vie, enfin sans compter notre amour réciproque, toi et moi. Je ne te cache pas qu'on les a tous battu, mais l'un d'eux avait trouvé le temps de me planter son couteau "papillon" dans le creux de l'épaule droite sans que je m'en rende compte. A l'hôpital, les questions gênantes sur les circonstances de cette aggression et le fait que nous soyons là avec un seul blessé fusèrent. Mais aussi, depuis ce jour, j'ai cessé tout entrainement, si ce n'est pour décompresser. Depuis ce jour également, je me suis refusé à toute violence, à moins que je n'aie que cette solution pour me protéger et protéger ceux que j'aime. Ici, il n'y a qu'une seule personne que j'aime, et c'est toi. Si ça peut te rassurer, si je n'ai pas à me servir de ça, je ne le ferais pas, mais je veux absolument t'éviter des ennuis avec des mecs comme ça. C'est sûr que ce ne serait pas le plus joyeux pour une soirée en tête à tête, ne trouve tu pas?

Il posa sa main sur la joue de la jeune femme, embrassant cette dernière avec délicatesse, tout en caressant la joue de son pouce. Il ne voulait vraiment pas qu'elle s'inquiète, il ne voulait vraiment pas l'effrayer, mais plutôt la rassurer.

Nino enlassa Ayu dans ses bras quand elle le vit habillée en noir. Et elle lui souria, un sourire confiant... pas moqueur. Elle savait que Ayu voulait prendre soins d'elle et surtout la proteigée quand il parla des éventuelles agrétions et de la housse et du boken. Elle recula et le prie par la main et l'entraina dehort. Pendant un moment elle ne prononça pas un mot quand il lui parla de son agression. Elle mie sa main devant sa bouche, confirmant sa stupeur de ce que avait vécus Ayu. Elle fut encore plus ébaillie quand elle fut embrasser pas celui-ci. Mais elle comprie vite.
Elle bassa sa tête et s'accrocha aux bras de Ayu tout en continuant d'avançer.

Ce qui t'es arriver... c'est vraiment terrible. Maintenant... je comprend à peut près pourquoi avans tu te renfermais sur toi même. Ses personnes... porquoi se comportent t'il ainci...? CVela ne mênes à rien si ce n'est à un blésser. Et puis c'est surtout toi. Tu à été marquer...

Elle mie la main devans sa bouche et s'escusa.

Euh pardon... je ne devrais pas parlée ainci. Inutile de remuer ton passer.

Elle ne voulais pas qu'il repence à son passer. C'étais inutile elle ne voulais pas qu'il revive cela. Mais que pouvait t'elle faite, elle n'étais que douée en sport. Mais pas au combat. Quand elle releva la tête c'étais avec stupeur à nouveaux que en face d'eux se tennait deux groupes. Pas forcément jeune, ils avoir 19-25ans. C'était vraiment pas le moment !

Allons Nino... Ne te fais pas de soucis. ce n'est rien d'en parler maintenant. c'est du passé et remuer le couteau dans la plaie, sans jeu de mots, ne me fera pas plus souffrir.

Il regardait Nino, mais en suivant le regard de sa charmante compagne, il comprit ce qui l'avait fait s'arreter. deux groupes de quatre jeunes âgés de 19 a 25 ans se tenaient devant eux, avec une ferme attention de ne pas les laisser passer, et une lueur lubrique se lisait dans le regard de ceux qui reluquaient la jeune femme. Ayu s'avança d'un pas, tendant le bras gauche devant Nino, il lui dit en chuchotant, priant pour que les autres ne l'aient pas entendu:

C'est rien, reste là, je m'en occupe.

Sentant la présence réconfortante de son bokken dans son dos, il s'adressa à ceux qui leur barraient la route.

S'il vous plaît, pourriez vous nous laisser passer?

Les autres lui répondirent, en s'esclaffant:

waaah l'aut' eh! vous l'entendez? Que dalle mec! si tu veux passer, faudra laisser ta copine au passage! Si tu refuse... ça va être ta fête et la sienne sous tes yeux.

Comprenant tout a fait ce que disaient les mecs situés a une vingtaine de pas en face, Ayu n'eut d'autre choix que la voie qu'il se refusait d'emprunter depuis longtemps. Avançant en marchant d'un pas, puis d'un autre, et enfin courant vers les autres, il dégaina son bokken avec sa main droite, la housse toujours attachée à son dos, joint sa main gauche à la main droite sur le manche du bokken et commença par balayer le groupe de droite d'un coup de sabre plein de fureur, fureur que l'on pouvait lire dans ses yeux. Le coup porté fut lourd, et le groupe de gauche tenta d'en profiter. Le jeune homme fit une roulade vers l'avant, se retourna vers ses assaillants et envoya un nouveau coup de sabre dans les bras d'un des jeunes aggresseurs. Les pans de sa chemisette virevoltaient autour de lui tandis qu'il se défendait avec hargne. Les gars du premier groupe commençaient à peine a se relever, et le jeune homme qui se battait donna un coup de coude gauche au visage d'un aggresseur particulierement lâche puisqu'il tentait de l'attaquer par derrière. Ayu semblait complètement ailleurs, retrouvant en quelque sorte une partie de son histoire, son passé qui faisait à nouveau surface.
Se mettant à nouveau en garde, appuyé sur sa jambe droite, la jambe gauche tendue vers l'avant, et le sabre parallèle a celle ci, il attendait... Il attendait patiemment que ses assaillants reprennent leur assaut. C'est alors qu'un son le fit revenir une nouvelle fois à son passé. un cliquetis métallique régulier, une lame qui brille, puis deux, trois, quatre, bientot huit lames scintillèrent dans la nuit. Ayu refusait de mourir comme était morte la fille assassinée dans un de ses poème. Un premier vint, puis toute la bande en meme temps, Ayu fendit l'air de la pointe de son bokken sur la gauche, puis sur la droite, et enchaina avec perfection un intense enchaînement de défense et d'attaque avec son bokken qui semblait être une chorégraphie parfaitement huilée, faisant tomber plusieurs de ses assaillants, faisant reculer les autres. Deux coupures se firent sentir, au niveau de sa cuisse, puis deux intense piqûres dans son dos. Il entendit des rires, se sentit choir à genoux. Il n'avait pas été assez vif, n'avait pas été suffisament rapide. Et Nino qui était a une dizaine de mètres de là, qui le voyait à genoux, entouré de leurs aggresseurs. Qu'allait-il advenir d'elle s'il ne vaincait pas? Des horreurs sans nom. Cette réponse le fit crier de rage, et il se leva, mû par une force nouvelle, l'amour, une nouvelle fois, portait à son coeur une nouvelle force qui vaincait le désespoir. de nouvelles coupures à ses jambes se firent sentir, mais il s'en fichait, et il frappa autour de lui avec tous les coups qu'il connaissait. un nouveau coup de couteau dans le dos se joignit aux autres, mais cela ne le fit pas tomber, pas cette fois. Il se battait avec tant de haine qu'il sentait une terreur se répandre autour de lui, ses yeux semblaient lancer des éclairs tandis que ses épaules, endolories par la force des chocs, commençaient à chauffer. Voyant un des affreux s'approcher de son aimée, il lança son bokken sur celui ci, qui le cogna avec violence et le fit tomber par terre, évanoui. Se retrouvant sans armes autres que ses bras et ses mains, Ayu regarda autour de lui, se rendant compte qu'il n'y avait plus d'aggresseur debout en état de se battre. Il voyait seulement ceux encore assez bon état pour marcher rammasser ceux qui ne le pouvaient pas et les emmener loin du jeune homme qui se tourna vers Nino, éclaira son visage plein de sueur par un sourire, avança d'un pas, puis deux, mais ne put en faire un troisieme. Il tomba d'abord à genoux, puis face contre terre, épuisé, endolori. Ce n'était pas une soirée cinéma comme il l'entendait. Il sentait à nouveau la fraicheur de la nuit, qu'il avait oublié pendant ce quart d'heure intense. Mais ce qui lui manquait le plus, c'était la douceur, la chaleur et le délicieux parfum de la peau de son aimée.

Quand Nino vit le groupe, elle constata qu'il devait en avoir au moins un vingtaine. Elle les regardaient et eux aussi, la regardait. Un expression bizarre émanait de leurs yeux. Quand Ayu s'avança et lui dit de rester là ou elle était, elle voulue dire non mais sa bouche refusait d'obéire. Quand Ayu demanda poliment de les laisser paser et quand elle vit la réaction de ceux-ci, elle prie peur pour Ayu. Un homme s'emparra de son bras par derrière et la menassa d'un couteaux. Elle ne dit rien, elle fit croire qu'elle n'avait pas froid aux yeux mais au fond elle craignait qu'ils ne s'en sortiraient pas.
Quand Ayu fut blaissée, elle prie le couteaux qui la mennasait de son autre main encore libre, par la lame. Sa main devint vitte ensanglanter tant la lame était coupante. Elle tomba à genoux.

AAAAAAAAAAAAAAAAYUUUUuuuuuuuuu !!!!

Des larme coulèrent sur ses joues. Elle voulais courire, courire pour le regoindre. Quand soudain, il se releva, elle n'en crue pas ses yeux quand il attaqua, une tel énnergie. Elle resta choquée et emple de peur quand ils ressus des couteaux dans le dos.
Quand il eu fignie et qui s'embla se diriger vers elle, elle se leva rappidement et courra vers lui. Mais il ne latteignie pas et tomba au sol. Nino se baissa de suite et caressa son visage de ses mains.

AYUUUUUUU ! Je t'en prie REVEILLE TOI ! Réveille toi !

Elle entendit au loint la sonnerie de la police, elle le prie rapidement par le bras avec dificulter puis dit:

i...il ne faut pas que la police nous voie...

Elle l'emenna jusqu'au pensionna. Et lui apporta tous les soins qu'elle pue l'aide de cicatrissant et de désinferctant. Elle lui mie aussi des bandages au plaie les plus grave. Elle enleva ensuite le haut de Ayu avec son pantalon. Elle l'allongea sur le lit. Puis se rendant compte qu'elle saiganait abondément de sa mains elle fit un bandage vitte fait et soccupa de Ayu. Puis, elle le regarda. Et tout doucement se rapprocha et se mis à côté de lui.
Décidément ce n'était pas une bonne journée.

Le lendemain, il était 13h et des poussieres lorsqu'il se réveilla, ne se rappelant pour l'instant de rien, il tenta de se lever et sentit une douleur diffuse dans son dos, du côté droit. Il se souvint alors de l'aggression, de ses adversaires, et de lui même. Il regarda ses mains, elles qui avaient une nouvelle fois servies à déchainer une violence inouie. Le jeune homme porta une de ses mains à son dos, là où il ressentait de la douleur, puis ramena sa main devant ses yeux et y vit du sang qui avait coulé au travers des bandages. Il se rendait bien compte que ce n'était pas des soins d'hôpital, et sentait bien que sa vie était hors de danger. Ceux qui l'avaient attaqué devait sans doute ignorer que le coeur était a gauche et non a droite, sinon ils l'auraient certainement tué. Il se rappela aussi que Nino était là à ce moment là, il se tourna et la vit, couchée à ses côtés, un bandage à la main. Avec précaution, il prit la main et déplaça son léger bandage. la coupure était peu profonde et sans grande gravitée, elle avait sûrement utilisé la pommade cicatrisante qu'il voyait sur le chevet, mais ce n'était pas assez pour ses coups de couteau qui manifestement ne s'étaient pas arrêtés à la surface de sa peau. Il n'y avait pas eu de dégats internes vitaux, des muscles entaillés, rien de plus, le muscle pulmonaire n'avait pas été touché. L'amoureux posa un baiser sur le front de Nino, toujours endormie, puis se leva, oubliant qu'il avait été coupé aux jambes égalements. Les assaillants qui étaient a terre lui lacéraient les jambes lorsqu'ils le pouvaient. Il chancela un moment, tomba sur un genoux, puis se releva, s'appuyant contre le mur, pour se rendre aux toilettes, juste à coté. Arrivé devant la cuvette, il tomba à genoux et vomit dedans, il frissonnait, et se releva tant bien que mal pour aller se rincer la bouche. Une fois celle ci rincée, lavée, il partit préparer le petit déjeuner, toujours chancelant, s'appuyant sur les murs de son bras gauche, évitant d'utiliser son bras droit qui agissait directement sur les coupures. Avant de préparer le petit déjeuner, il chercha et trouva du fil et une aiguille, assez pour le recoudre. Il ne restait plus qu'à attendre Nino, il se sentait trop vidé pour pouvoir faire le chemin inverse pour l'instant. Le jeune homme regardait ses mains, les caressant de la paume jusqu'au bout des doigts, ces mains qui , une quinzaine d'heures plus tôt, abattaient un bokken sur des jeunes gens avec des instincts meurtriers et violeurs.

Nino avait tennue jusqu'à 7heure du matin. Tant elle était inquiette. Elle avait déjà prévue pour le petit matin le petit déjeuner, mais l'avait laisser dans la cuisine et finallement elle s'étais endormie à côté de Ayu sédant à sa fatigue. Quand elle se réveilla au départ, elle remarqua que Ayu n'était plus dans son lit. Elle se releva subitement mais tout à coup elle remarqua qu'ilétait en faite juste à côté delui et qui tennait sa main bandée.

A-ayu

Nino? tu vas bien? j'aurais un service à te demander, si tu n'es pas trop fatiguée...

Le jeune homme lui tendit le fil et l'aiguille, le fil étant déja attaché a celle ci, puis lui tourna le dos afin de montrer les coupures profondes des coups de couteau.

La pommade cicatrisante, c'était une bonne idée, mais ce qu'il faut, c'est recoudre la plaie. c'est comme repriser une chaussette, meme si la peau va etre un peu plus solide que la chaussette. Il faut que tu resserre la peau à l'aide du fil de manière à ce que la plaie forme deux lèvres, le fil aidera à la cicatrisation de la plaie, et il se désagregera tout seul, je l'ai trouvé dans l'infirmerie, plutot bien équipé le pensionnat.

Nino voulue lui dire quelque chose, elle voulue pparler avec lui qui avit tout subit pour elle. Mes à nouveaux aucun sons ne sortit de sa bouche. Elle obéissa sans dire quoi que se soit. Elle prie l'éguille et le fil. Heureusement que sa mère lui avait aprie à faire de la couture. Elle passa doucement l'éguille dans sa peau et commensa à recoudre les plaies. Comme elle était habille de ses main elle ne mie pas longtemps pour recoudre. Mais derrière Ayu. Des larme silentieuse coulaient tout au long du visage de Nino.

Nino était douée, elle le recousait sans qu'il ne sente le fil ou l'aiguille. Lorsque l'activité "couture" fut achevée, il se tourna vers Nino qui avait les joues humides de larmes. Il pensait qu'elle était sous le choc de ce qu'elle avait vécu, en meme temps un sabre en bois lancé très fort par le jeune homme avait mis Ko un aggresseur non loin d'elle, ça aussi, c'était dangereux, et puis, elle s'était coupée à la main, elle devait être en état de choc. Ayu, lui, était juste dégouté de lui même par la violence dont il avait fait preuve devant la jeune femme. Il voulut la serrer dans ses bras, mais ne le put, et s'adressa à elle d'une voix triste.

Je... je suis désolé... Nino. Désolé que tu aie dû voir... et vivre cela.

Nino fronça ses sourcil et essuilla ses larmes. Elle souria.

A ses sentiments... je ne pourais les controler.

Son coeur battais à toute allure. Elle avait eu peur. Très peur, mais pas la même peur que disait Ayu. Ce qu'elle avait eu peur c'était qu'il ne s'en sorte pas vivant. Prèsque toute la nuie elle avait priée pour que son état s'arrenge qu'il se réveille. Qu'il se réveille.

Je n'aurais pas dues m'habillée ainci. J'ai... j'ai eu peur effectivement. Mais peur pour toi. J'ai tant attendue.

A nouveaux elle ne pue controlée ses larmes.

Je... suis désolée... je suis forte je ne doit pas... je ne voie pas pourquoi je suis dans cet état.

je suis désolé de t'avoir causé du soucis, j'en ai vu d'autres, mais là j'étais vraiment crevé... merci pour la couture, tu t'en es bien tirée...

Une fois rassuré, Ayu serra Nino dans ses bras pour lui montrer qu'il était bien vivant et qu'il n'avait pas l'intention de la laisser seule. Aussi, il ajouta, en parlant de ce qu'il avait vécu la veille, pour la premiere fois depuis son réveil.

Tu sais, sous les premiers coups de couteau, lorsque j'étais agenouillé devant eux, le temps m'a parut infiniement long, et le fait d'imaginer ce qu'il pourrait t'arriver si je ne vaincais pas m'a donné une nouvelle force que je n'avais pas jusqu'alors. Il y avait l'espoir et l'amour, Nino. Lorsque je me suis rappelé leur regard, je me suis dit que ce qui t'arriverait si je ne me battait pas serait pire que ce qui m'arriverait si j'étais vaincu, alors... tu connais la suite. Cette nouvelle force m'a fait oublier la douleur et redoubler de fureur. J'espère seulement que tu n'aie pas à vivre cela à nouveau, bien plus que mon état physique, c'est toi qui m'importe Nino.

Nino caressa les cheveux de Ayu quand celui-ci la prie dans ses bras. Et quand il lui explica que qui c'était passer. Elle l'embrassa sur son visage avec des baiser doux et léger. Sur ses lèvres, et sur son visage. Elle était soulagée. Il allait mieu.

Je vais bien... Ayu. Je suis heureuse que tu soit avec moi.

mais au fait, dis moi... Ta main... qu'est-ce qui est arrivé? je ne sais pas, j'étais trop absorbé a dix metres de toi.

Ayu sourit sous les baisers de Nino, la veille n'avait pas été ce qu'ils avaient prévu, mais le simple fait d'avoir vu Nino aussi charmante lui avait laissé un beau souvenir.

Heureux d'etre avec toi aussi. j'ai pas été trop lourd à trainer?

Il s'allongea avec Nino sur le lit, et embrassa cette derniere avec tendresse, la taquinant légèrement avec de petites chatouilles sur les côtes

Ce n'est rien... c'est que quand... je t'ais vue à terre. Je voulais à tout pris te regoindre mais l'homme qui était derrière moi me tennais en me menassant avec un couteau très aigiser.

Elle regarda sur le côté comme si elle revivais la scène.

Et comme je voulais aller à toi. J'ai saisie instinctivement le couteau, mais par la lame pour la dégagée. Mais je suis tombée par terre et ma main saignait abondément. Mais tu es arriver et tu m'a sauver.

Nino ferma les yeux puis les rouvris et regarda Ayu.

Quand tu t'es écrouler au sol la seule chose d'on je pensait c'étais toi et non ma main. Je t'ai ramenée au pensionna. J'avoue que cela n'a pas été facile mais j'ai réussie. Je t'ai soutenue pas le bras pour que tu ne tombe pas. Et puis je n'ai presque pas fermer l'oeil de la nuit tant j'étais inquiette.
Alors maintenant tu sais pourquoi je ne me préocupais pas de ma main à ce moment là.

Elle s'allongea sur le lit en même temps que Ayu. Celui-ci l'embrassa mais la chatouilla aussi.
Au début elle ne dit rien des chatouille car elle pensait encore au soir, mais elle souria et ria de bon coeur.

mer-ciihihihihihi hahaha hihihihihihi

Ne te bloque pas sur cet évènement, prie seulement pour qu'il n'y en ait pas d'autre, je ne supporterais pas que tu sois à nouveau blessée, ou que tu risque quelque chose de bien pire encore. Mais n'y pense plus, comme tu l'as dis, allons de l'avant. Cependant... faudra que je nettoie mon bokken, je déteste quand il est sale... Je peux paraitre froid en l'égard de ceux qui en ont gouté, mais je n'éprouve rien de bon pour eux de toute façon. celui qui te tenait ne t'a rien fait au moins?

Ayu cessa ses chatouilles et adressa un regard inquiet à Nino. Cette dernière le rassura et il l'embrassa ensuite, doucement.

Bon, je vais chercher le petit déjeuner Nino, attends moi là.

Il partit donc chercher le petit déjeuner et revint avec le plateau déja préparé par la jeune femme. Il le posa sur le lit et tendit une tartine pour que Nino croque directement dedans.

Mangeons, on en à bien besoin.

Non, il ne m'a rien fait. Il m'a juste forçé à me faire prendre se couteaux pour te regoindre.

Elle alla avec lui pour prendre le plateau de Ayu. Elle n'aimait pas trop que, lui plus blaisé qu'elle, s'ocupe d'elle. Alors elle fit de même. Elle apporta avec lui les plateaux.
Et elle commença à manger.

Oui, bonne appétit ^^

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